Nom de bâtiment et lieu de la photographie
- SALIOU
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
...Et la Marseillaise, les autres classe La Galissonnière sont en Afrique.
Pierre
"Rame, rame, rameurs, ramez
on avance à rien dans c'canoë...
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on avance à rien dans c'canoë...
- capu.rossu
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Bonsoir,
Alamer pourrait-il nous confirmer si ce navire porte une marque en tête du mât arrière. Si oui, il s'agit alors de la Marseillaise.
@+
Alain
Alamer pourrait-il nous confirmer si ce navire porte une marque en tête du mât arrière. Si oui, il s'agit alors de la Marseillaise.
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Alain
- ALAMER
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Il semble qu'il y ait quelque chose qui flotte au mât arrière mais c'est un peu tiré par le cheveux...
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
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- capu.rossu
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Bonjour,
C'est bien ce que j'avais cru apercevoir sur le cliché, donc je pense à la Marseillaise qui porte la marque du contre-amiral commandant la 3ème DC.
@+
Alain
C'est bien ce que j'avais cru apercevoir sur le cliché, donc je pense à la Marseillaise qui porte la marque du contre-amiral commandant la 3ème DC.
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Alain
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Salut à Tous,
Si l'amiral n'a pas raté l'appareillage du 9 mai 1940, nous pouvons rajouter le Georges Leygues (marque du Cdt de la 4e DC, le CA Bourragué), pour une sortie d'exercices au départ d'Alger, avec la participation de la Gloire (également de la 4e DC), du Dunkerque (marque du Cdt de la Force de Raid, le VAE Gensoul), mais surtout du Strasbourg, du Jean de Vienne et de La Galissonnière, les trois affectations connues du personnage, à l'époque la Marseillaise est à Oran, en fin de carénage.
Cordialement,
Si l'amiral n'a pas raté l'appareillage du 9 mai 1940, nous pouvons rajouter le Georges Leygues (marque du Cdt de la 4e DC, le CA Bourragué), pour une sortie d'exercices au départ d'Alger, avec la participation de la Gloire (également de la 4e DC), du Dunkerque (marque du Cdt de la Force de Raid, le VAE Gensoul), mais surtout du Strasbourg, du Jean de Vienne et de La Galissonnière, les trois affectations connues du personnage, à l'époque la Marseillaise est à Oran, en fin de carénage.
Cordialement,
André DELAMBILY, ancien du Gustave Zédé (1963-1966)
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Tout ceci ne dépend-t'il pas de la date et du lieu de prise de vue que nous ne connaissons pas??DELAMBILY a écrit :Salut à Tous,
Si l'amiral n'a pas raté l'appareillage du 9 mai 1940, nous pouvons rajouter le Georges Leygues (marque du Cdt de la 4e DC, le CA Bourragué), pour une sortie d'exercices au départ d'Alger, avec la participation de la Gloire (également de la 4e DC), du Dunkerque (marque du Cdt de la Force de Raid, le VAE Gensoul), mais surtout du Strasbourg, du Jean de Vienne et de La Galissonnière, les trois affectations connues du personnage, à l'époque la Marseillaise est à Oran, en fin de carénage.
Cordialement,
Pierre
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Re
C'est ce que je laissais entendre dans ma première réponse.
Cordialement,
C'est ce que je laissais entendre dans ma première réponse.
Cordialement,
André DELAMBILY, ancien du Gustave Zédé (1963-1966)
- capu.rossu
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Bonsoir,
Vous pouvez oublier la date du 9 mai 1940 car ce croiseur présente des marques de neutralité donc on se situe avant mars 1939 ou après juillet 1940. Si on tient compte de l'information comme quoi la personne a embarqué sur les :
LA GALISSONNIÈRE (date inconnue)
STRASBOURG (le 02/1940)
JEAN DE VIENNE (le 01/04/1941)
on reste avec une probabilité pour la Marseillaise pour la période Strasbourg + Jean de Vienne post juillet 1940 et toujours la Marseillaise pour la période la Galissonnière si la date inconnue est avant mars 1939.
@+
Alain
Vous pouvez oublier la date du 9 mai 1940 car ce croiseur présente des marques de neutralité donc on se situe avant mars 1939 ou après juillet 1940. Si on tient compte de l'information comme quoi la personne a embarqué sur les :
LA GALISSONNIÈRE (date inconnue)
STRASBOURG (le 02/1940)
JEAN DE VIENNE (le 01/04/1941)
on reste avec une probabilité pour la Marseillaise pour la période Strasbourg + Jean de Vienne post juillet 1940 et toujours la Marseillaise pour la période la Galissonnière si la date inconnue est avant mars 1939.
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Alain
- ALAMER
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Pour éclairer le béotien que je suis, quelles sont ces marques de neutralités visibles ?
Par avance, merci.
Par avance, merci.
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- capu.rossu
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Bonsoir,
Lorsque les navires français assurèrent des missions de contrôle du trafic à destination de l'Espagne en pleine guerre civile, ils fut peint sur les tourelles des grands bâtiments ou sur les masques de pièces des bâtiments légers trois bandes reprenant les couleurs du pavillon national avec le bleu toujours vers l'avant. Les navires ayant des pièces sans masques ont eu trois pavillons peints sur les faces de la passerelle, un sur la face avant et un sur chaque côté.
La Royal Navy adopta le même schéma mais avec le rouge vers l'avant. De même, la Kriegsmarine et la Regia Marina eurent aussi des marques de neutralité.
Après juillet 1940, la Marine de Vichy reprit le même principe de marques de neutralité qui resta en vigueur jusqu'en décembre 1942 quand les Forces Maritimes d'Afrique reprirent le combat aux côtés des Alliés.
Les navires marchands français eurent aussi des marques de neutralité. Durant la guerre d'Espagne, un pavillon tricolore peint sur la coque de chaque bord à l'exception de la compagnie Paquet dont les navires portaient le nom en gros sur la partie centrale de la coque et encadré du sigle de la compagnie, copie conforme de celui de la cheminée, le tout encadré par deux pavillons tricolores.
Pour la période juillet 1940 - décembre 1942, les marques de neutralité des navires marchands devaient avoir leur nom peint sur la coque et encadré de deux pavillon tricolores dans un rectangle jaune, plus trois pavillon tricolores peints sur les trois faces de la passerelle et un pavillon tricolore peint sur une tôle visible des deux bords montée sur la plateforme d'artillerie arrière (la pièce ayant été débarquée suivant les prescriptions de la convention d'armistice). Ça c'est la théorie, dans la pratique les navires marchands ont toutes sortes de variantes allant de la disposition règlementaire au simple pavillon peint sur la coque.
@+
Alain
Lorsque les navires français assurèrent des missions de contrôle du trafic à destination de l'Espagne en pleine guerre civile, ils fut peint sur les tourelles des grands bâtiments ou sur les masques de pièces des bâtiments légers trois bandes reprenant les couleurs du pavillon national avec le bleu toujours vers l'avant. Les navires ayant des pièces sans masques ont eu trois pavillons peints sur les faces de la passerelle, un sur la face avant et un sur chaque côté.
La Royal Navy adopta le même schéma mais avec le rouge vers l'avant. De même, la Kriegsmarine et la Regia Marina eurent aussi des marques de neutralité.
Après juillet 1940, la Marine de Vichy reprit le même principe de marques de neutralité qui resta en vigueur jusqu'en décembre 1942 quand les Forces Maritimes d'Afrique reprirent le combat aux côtés des Alliés.
Les navires marchands français eurent aussi des marques de neutralité. Durant la guerre d'Espagne, un pavillon tricolore peint sur la coque de chaque bord à l'exception de la compagnie Paquet dont les navires portaient le nom en gros sur la partie centrale de la coque et encadré du sigle de la compagnie, copie conforme de celui de la cheminée, le tout encadré par deux pavillons tricolores.
Pour la période juillet 1940 - décembre 1942, les marques de neutralité des navires marchands devaient avoir leur nom peint sur la coque et encadré de deux pavillon tricolores dans un rectangle jaune, plus trois pavillon tricolores peints sur les trois faces de la passerelle et un pavillon tricolore peint sur une tôle visible des deux bords montée sur la plateforme d'artillerie arrière (la pièce ayant été débarquée suivant les prescriptions de la convention d'armistice). Ça c'est la théorie, dans la pratique les navires marchands ont toutes sortes de variantes allant de la disposition règlementaire au simple pavillon peint sur la coque.
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Alain
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Bonjour,
A l'arrière plan il me semble que c'est le cap Blanc, avec son rocher caractéristique juste au dessus de la tourelle n°2.
Nous serions donc en rade d'Hyères.
A l'arrière plan il me semble que c'est le cap Blanc, avec son rocher caractéristique juste au dessus de la tourelle n°2.
Nous serions donc en rade d'Hyères.
Cordialement.
Yvonnick
Yvonnick
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Re: Nom de bâtiment et lieu de la photographie
Bonjour à tous,
Bref passage à ma base et je tente de donner un coup de main.
Le lieu est identifiable : c'est la sortie de la grande passe de la rade d'Hyères avec l'île de Port-Cros en arrière-plan.
Si on postule que la photo a été prise du temps de l'embarquement de M Gendron, les seuls croiseurs de 7 600 tonnes alors armés à Toulon étaient la Marseillaise et le Jean de Vienne. Je penche plutôt pour la Marseillaise (il me semble deviner la passerelle de majorité et une marque de commandement au mât AR).
Si tout cela se vérifie, la période serait donc comprise entre mai (première sortie du Jean de Vienne après réarmament) et juillet 1941 (au début août, la Marseillaise a reçu un CAD de 37 au-dessus du bloc passerelle). Selon Moulin, le choix est 30 mai, 27 juin ou 2 août 1941 quand les croiseurs ont repris la mer vers Toulon après un séjour d'exercices au mouillage aux Salins.
Je suis plus affirmatif sur la page ALAMER : le bâtiment non identifié est le torpilleur Tramontane avec son cadran de tir déporté sur bâbord + les deux descentes d'antenne gréées sur le pavois.
Cordialement
J. Lassaque
Bref passage à ma base et je tente de donner un coup de main.
Le lieu est identifiable : c'est la sortie de la grande passe de la rade d'Hyères avec l'île de Port-Cros en arrière-plan.
Si on postule que la photo a été prise du temps de l'embarquement de M Gendron, les seuls croiseurs de 7 600 tonnes alors armés à Toulon étaient la Marseillaise et le Jean de Vienne. Je penche plutôt pour la Marseillaise (il me semble deviner la passerelle de majorité et une marque de commandement au mât AR).
Si tout cela se vérifie, la période serait donc comprise entre mai (première sortie du Jean de Vienne après réarmament) et juillet 1941 (au début août, la Marseillaise a reçu un CAD de 37 au-dessus du bloc passerelle). Selon Moulin, le choix est 30 mai, 27 juin ou 2 août 1941 quand les croiseurs ont repris la mer vers Toulon après un séjour d'exercices au mouillage aux Salins.
Je suis plus affirmatif sur la page ALAMER : le bâtiment non identifié est le torpilleur Tramontane avec son cadran de tir déporté sur bâbord + les deux descentes d'antenne gréées sur le pavois.
Cordialement
J. Lassaque