Net-Marine - www.netmarine.net

La critique a propos de l'article sur les commandants de sous-marins sur l'utilisation de données trouvées ici et la sur des sites, me laisse à penser qu'il suffit pour éviter ce genre de réflexion de rappeler certaines évidences; il y a les chercheurs qui vont aux sources; fouillent dans les archives en prenant beaucoup de leur temps, et ceux qui se contentent de recopier le résultat de leurs recherches qui figurent soit sur des sites internet soit dans les livres; il doit exister entre eux des règles de bonne conduite il me semble; la principale est de citer les sources systématiquement, ce qui est à la fois une reconnaissance du travail de ces auteurs, et peut donner l'envie d'acquérir le livre en question pour en savoir plus sur le sujet; d'autres sites ne font que recopier des informations trouvées ailleurs, la il ne s'agit pas de véritables sources, puisqu'ils ne sont pas à l'origine de la recherche, le sérieux voudrait qu'ils donnent eux aussi leurs sources, ou la bibliographie, c'est un problème de traçabilité de l'information, sinon en plus il n'y a un risque d'informations non vérifiables et sujettes à caution.

Alain

Salut à Tous,

Bonjour Alain,

Il y quelques années, j'ai rédigé un mini traité, basé sur les diverses sources, pour effectuer des recherches biographiques de parlementaires français (en l'occurrence des députés des Deux Sèvres), publié dans la revue l "Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux", numéro 285, de décembre 1974, colonnes 1176 à 1178, (ainsi que d'autres articles). Dans cette revue, ancêtre des actuels forums, la courtoisie était de rigueur et il était inutile d'énoncer des règles, le savoir-vivre suffisait. Autres temps, autres mœurs. Cet article m'a d'ailleurs valu une correspondance datée du 4 août 1975, de M. Maurice DAROUSSIN, directeur du service des Archives de l'Assemblée Nationale. Copier et citer, n'exonère en rien le copiste, une demande d'autorisation auprès du rédacteur premier, peu éviter ce que le droit français nomme plagiat.

Et que dire des photographies et des cartes postales "piratées" sur les sites de vente, et publiées sans bourse déliée, aux détriments des acquéreurs ?

Cordialement,