Mi Août 1944, le 321ème groupe de B-25 Mitchells de la US Army Air Corps basé à Solenzara en Corse a bombardé le port de Toulon.
Accolé au STRASBOURG se trouvait un sous marin, est-possible de l'identifier ?
Par avance merci,
Un sous-marin à couple du STRASBOURG
- ALAMER
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Un sous-marin à couple du STRASBOURG
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Re: Un sous-marin à couple du STRASBOURG
Salut à Tous,
Bonjour ALAMER,
Sur la vue aérienne, à tribord du Strasbourg, ils s'agit du sous-marin Aurore.
Cordialement
Bonjour ALAMER,
Sur la vue aérienne, à tribord du Strasbourg, ils s'agit du sous-marin Aurore.
Cordialement
André DELAMBILY, ancien du Gustave Zédé (1963-1966)
- ALAMER
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Re: Un sous-marin à couple du STRASBOURG
Bonjour,
merci pour la réponse mais au risque de me tromper, le sous-marin est sur le bâbord du STRASBOURG :
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Re: Un sous-marin à couple du STRASBOURG
Bonsoir,
Dalambily a écrit :
@+
Alain
Dalambily a écrit :
Non. Sur le plan des épaves dressé par la DCAN (Section des Réparations) au 01/09/1944, comme sur le plan corrigé du 10/03/1945, l'Aurore est sur bâbord du Strasbourg dans l'alignement de l'appontement entre celui-ci et le coffre. Su tribord, la pointe d'étrave que l'on voit émerger est celle de l'Achéron.Sur la vue aérienne, à tribord du Strasbourg, ils s'agit du sous-marin Aurore.
@+
Alain
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Re: Un sous-marin à couple du STRASBOURG
Re,
Et pan sur le bec,
Effectivement c'est bien bâbord. Aucune excuse : cent pompes pour la peine !
A tribord c'est le La Galissonnière, j'ai le souvenir de ce bâtiment couché sur la flanc, "en forme de portion de lune", lorsque enfant, nous longions, au départ du fort Napoléon, la corniche de Tamaris, pour nous rendre à la plage des Sablettes. J'ai aussi le souvenir d'une demande publique de garder les fenêtres ouvertes lors du pétardage de ce vestige des bombardements alliés. Nous étions aux débuts des années cinquante.
Cordialement,
Et pan sur le bec,
Effectivement c'est bien bâbord. Aucune excuse : cent pompes pour la peine !
A tribord c'est le La Galissonnière, j'ai le souvenir de ce bâtiment couché sur la flanc, "en forme de portion de lune", lorsque enfant, nous longions, au départ du fort Napoléon, la corniche de Tamaris, pour nous rendre à la plage des Sablettes. J'ai aussi le souvenir d'une demande publique de garder les fenêtres ouvertes lors du pétardage de ce vestige des bombardements alliés. Nous étions aux débuts des années cinquante.
Cordialement,
André DELAMBILY, ancien du Gustave Zédé (1963-1966)