recherche sur le Typhon, Tramontane, Tornade, Oran

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point18sik2
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recherche sur le Typhon, Tramontane, Tornade, Oran

Message par point18sik2 »

bonjour,
je suis un plongeur passionné par l'histoire d'Oran. je compte faire un livre sur la côte Oranaise et de ce fait il y aura un chapitre sur les nauffrages. je cherche des photos ou des temoignages d'anciens marins du Typhon, Tramontane, Tornade coulés le 8 novembre 1942. j'ai deja plongé sur le Typhon et une epave a Kristel qui est probablement la Tramontane. j'ai fait une vidéo que j ai mis sur youtube : vous pouvez la voire en tapant : plongée sur épave a kristel
si vous avez des infos sur cette partie de l'histoire, si vous avez des photos anciennes..... merci de m'aider a realiser mon travail
Tarik M, Marseille : 06 81 23 49 85
email : mokhtarik@hotmail.fr
sbimbof
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salut

Message par sbimbof »

salut a toi l ami, j ai entamé une recherche bibliographique que je te refilerai des que finie.
bonnes bulles
Si l epave y est, nous la trouverons !
tauziet
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Message par tauziet »

La Tramontane est a environ 150 métres de la cote de Kristel - ce qu'il en reste- est à environ 10/12 métres de profondeur- mon pére était marin à bord de ce navire ( le boulanger du bord) lorsqu'il a été coulé par le navire Anglais ¨Aurora¨. J'ai souvent etant jeune , puisque né à Oran , plongé à cet endroit en particulier pour ¨faire de magnifiques oursins ¨ J'y suis retourné en 1982 - ce n'est plus qu'un prémontoire informe - [/b]
Marc Saibène
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Message par Marc Saibène »

Voici le texte sur la fin des torpilleurs de la 7e DT paru dans le livre : "Les torpilleurs de 1500 tonnes type Bourrasque" Marines Editions Rennes.
Bien cordialement Marc Saibène

La fin de la 7ème D.T. à Oran
(Tramontane, Typhon, Tornade).
Le 8 novembre, à 3 heures du matin, deux corvettes britanniques - Walney et Hartland - flanquées des vedettes ML 480 et 483 se présentent à l’entrée du port d’Oran dans l’intention de passer en force et débarquer des commandos. Il fait nuit, les navires manquent la passe et manœuvrent pour se représenter, mais sont à ce moment aperçus par le bâtiment de garde qui ouvre le feu et donne l’alerte au moyen d’une fusée rouge. L’une des vedettes est atteinte, mais, dans la confusion, leWalney parvient à franchir à 15 nœuds les deux barrages flottants. Il aborde par accident la seconde vedette, puis passe le Typhon amarré au quai de Dunkerque. Ce dernier n’a pas eu le temps d’armer les 130 mm. Il tire donc avec les pièces battantes de 37, de 25 et les Browning sans pour autant arrêter la corvette qui ne stoppera que pour mettre à l’eau trois canoës transportant des équipes de démolition. Le Walney reprend ensuite sa route à petite vitesse vers le fond du port. Il a ordre de se rendre au quai d’Alger, présumé libre, afin d’y débarquer le gros des troupes. C’est pourtant au fond du port que se trouvent les postes de plusieurs bâtiments de la Marine nationale dont la Tramontane, amarrée de cul au quai Lamoune. De plus, le contre-torpilleur Epervier, au sortir d’un carénage, s’est précisément amarré, par le travers, au quai d’Alger. L’un de ses projecteurs éclaire la corvette... qui réplique et l’éteint d’une rafale. L’Epervier ouvre alors le feu à bout portant avec deux pièces de 138 mm, aussitôt suivi par les armes légères de la Tramontane puis par les pièces de 130 mm n°1 et 2 (qui vont chacune tirer une dizaine de coups). Le Walney, assaillit de tout bord, trouve encore l’énergie de riposter et provoque un début d’incendie dans les douilles de 130 de la Tramontane : six hommes sont blessés (dont l’enseigne de vaisseau Fraisse, chef de la D.C.A arrière). Mais enfin, réduit à l’état de brûlot, le Walney stoppe puis se met à dériver dangereusement, obligeant certains bâtiments - dont la Tramontane - à appareiller d’urgence.
Pendant ce temps, le Hartland, tente lui aussi, l’entrée du port, mais heurte l’extrémité de la traverse du large, se dégage, parvient à entrer et se fait prendre dans le projecteur du Typhon qui ouvre le feu avec toutes ses pièces de 130 mm. Trente coups sont tirés mettant en quelques instants l’armement ennemi hors de combat et désemparant le navire qui prend feu et qui, sur son erre, élonge le Typhon, lui arrachant au passage le bossoir des torpilles. Le brûlot s’arrête enfin. Il explosera à 9 heures 30. Le Typhon avait essayé sans succès de couler l’épave en tirant un obus à la flottaison.

Perte de la Tramontane - 8 novembre 1942-.
Il est 4 heures lorsque la Tramontane (C.F. de Feraupy, chef de division) quitte son poste pour éviter le Walney en feu. Elle va s’amarrer, non loin de là, à des chalands mouillés le long de la jetée. C’est à ce poste provisoire que le commandant de la 7ème D.T. reçoit l’ordre d’appareiller avec mission de signaler et d’attaquer des forces adverses repérées en baie d’Arzew. La Tramontane largue donc les chalands et manœuvre à petite allure au travers du port en compagnie de la Tornade (C.C. Pares) qui vient de la rallier. Le Typhon est alerté au passage. La Tornade franchit la passe en premier, mais prise dans une épaisse fumée provenant du Hartland, heurte les enrochements de la digue. La Tramontane sort donc seule. Le Typhon suivra dans quelques minutes...
Il est près de 5 heures lorsque la Tramontane met cap au nord . Seulement trois pièces de 130 mm sont battantes, la pièce n°4 n’ayant put être armée faute de personnel . A 5 heures 42, un bâtiment est aperçu par bâbord. C’est le croiseur britannique Aurora. Il répond au signal de reconnaissance en ouvrant un feu très bien ajusté. Immédiatement, on compte plusieurs blessés à la pièce n°3 ; puis la pièce n°1 est atteinte d’un coup direct alors qu’elle venait à peine de commencer le tir ; la pièce n°2 continue un instant à riposter avant d’être à son tour muselée, tout le personnel tué sauf le chef de pièce. Des éclats ont atteint les passerelles tuant le commandant et l’officier de manœuvre, blessant l’officier canonnier et l’officier torpilleur ainsi que quatre ou cinq hommes. Le second, qui se trouvait sur la passerelle arrière se porte alors sur l’avant et prend le commandement. Entre-temps, l’officier de manœuvre, bien que grièvement blessé, avait fait poursuivre les évolutions en zigzag et fait noyer les soutes à munitions avant où un incendie venait de se déclarer. La pièce n°3 est remise en service sans télémétrie ni télépointage, mais doit rapidement interrompre le tir car les blessés et les corps des tués engagent les parcs et les norias, empêchant tout ravitaillement. Le croiseur anglais est maintenant suffisamment proche pour utiliser son affût quadruple de 40 mm qui mitraille les superstructures. Les 152 continuent leur ravage... La Tramontane flambe du rouf avant à la passerelle.
Maintenant sans artillerie, le torpilleur met à tribord sur la pointe de l’Aiguille, mais l’avant s’enfonce rapidement et atteint bientôt l’écubier, à un mètre du pont. Dans une telle position, le navire ne peut plus tenir la moindre vitesse. Le second se résout donc à stopper et fait prendre les dispositions d’évacuation. Malheureusement, la baleinière qui avait servi à démailler la chaîne, est restée à Oran et la vedette ne pourra être mise à l’eau par suite de la gîte trop forte ou d’une déformation du chantier. Les blessés les plus graves sont alors embarqués dans le canot à moteur, mais les garants, à cause de la forte gîte, se révèlent trop courts. Il faudra les couper au couteau. Malheureusement, l’avant ayant largué trop tôt, le canot s’évite vers l’arrière et va heurter l’hélice bâbord qui affleure l’eau en tournant encore lentement. Le canot est crevé et coule en quelques instants...
Une partie de l’équipage s'est déjà jetée à la mer lorsque le Typhon accoste la Tramontane et met son canot à l’eau. Il embarque au moyen d’une planche le reste de l’équipage puis tente de passer une remorque pour aller échouer le torpilleur à la côte. Cependant, engagé à son tour par des bâtiments britanniques, il ne peut poursuive l’opération. Le sémaphore du cap de l’Aiguille avait entre-temps dépêché une embarcation au secours des naufragés.
Avant d’accoster la Tramontane, le Typhon avait pris une route plus directe vers le cap de l’Aiguille et avait reconnu dans le Nord le croiseur Aurora accompagné de deux destroyers. A 6 heures 10, il lançait deux torpilles en direction du croiseur - distance 9000 mètres - sans résultat.

Perte de la Tornade - 8 novembre 1942-.
Nous avons vu que la Tornade s’était prise dans les enrochements de l’épi Nord de la passe d’Oran. L’étrave est arrachée. Le compartiment vide de l’avant est envahi. Le torpilleur doit réduire à six nœuds pendant que l’on épontille la cloison du peak. Quinze minutes plus tard la vitesse est montée à 12 nœuds puis réduite à 10 afin de ménager l’épontillage qui donne des signes de faiblesse. A 6 heures 15, l’Aurora et ses deux destroyers (Le Boadicea et le Calpe ) sont aperçus par bâbord, mais il faudra encore une demi-heure avant que l’un des destroyers - le Boadicea - fasse un signal par projecteur (sans doute un signal de reconnaissance qui restera sans réponse) puis ouvre le feu à 12 000 mètres. La Tornade riposte et observe un coup au but qui décourage le Britannique : ce dernier cesse son feu et se dérobe derrière un écran de fumée. A 6 heures 50, c’est au Calpe d’ouvrir le feu. Sa salve tombe très près à tribord. Le torpilleur n’a pas été touché, mais des éclats ont brisé le projecteur bâbord. Afin de dérégler le tir, la Tornade met un instant à 20 nœuds avant de devoir revenir à 12 nœuds au bout de trois minutes... puis met le cap au 80 pour rendre ses tubes battants sur l’Aurora qui se trouve maintenant à 9000 mètres. Six torpilles sont lancées : sans résultat.
Le Typhon qui, tout en tirant sur un destroyer, vient de quitter la Tramontane, passe à contre-bord de la Tornade. Il fait demi-tour pour prendre la ligne de file de son divisionnaire et, à 7 heures 10, lance encore une torpille sur l’Aurora (à 11 000 mètres). Le croiseur reprend à ce moment son tir qui, se joignant à celui du Calpe, encadre le groupe et touche presque simultanément la Tornade :
- un obus atteint l’extrême arrière sans causer de dégâts ;
- un obus pénètre dans la machine, sous la flottaison, détruisant les caisses à huile et tuant deux hommes ;
- un troisième traverse le rouf arrière et éclate à tribord blessant mortellement un quartier-maître.
Cinq minutes plus tard un autre obus de 152 mm atteint encore la Tornade sous la flottaison tuant un maître mécanicien et cinq quartiers-maîtres ou matelots ; un autre passe entre le rouf arrière et la pièce n°4 mettant l’armement hors de combat ; un troisième éclate sous la flottaison dans le poste 3, blessant grièvement deux servants de la soute à projectiles qui doit être évacuée. Mais il ne reste alors plus qu’une trentaine de coups en soute, chacune des pièces ayant tiré environ cent coups. La barre est bloquée, le bâtiment commence à se remplir et donne de la gîte sur tribord. La vitesse diminue rapidement. La Tornade est maintenant très près du cap de l’Aiguille et dérive vers la terre. Le commandant Pares donne l’ordre d’évacuation. Quelques gerbes tombent encore très près pendant que l’on évacue les blessés, les mécaniciens (désormais inutiles) puis une partie de l’équipage dans les embarcations intactes et les radeaux. Trois voyages pourront être exécutés alors que l’on tentera de passer une aussière sur un rocher du cap ; mais tous les efforts pour ramener le torpilleur debout au vent et à la houle seront vains. A 8 heures 25, alors que l’on effectue le troisième voyage d’embarcations, la Tornade se couche sur tribord. Les derniers hommes restant à bord, ainsi que le commandant, se jettent à l’eau avant que le navire ne chavire et coule par l’arrière.
Pendant que se déroule l’évacuation, le Typhon reçoit liberté de manœuvre. Il continue un moment à 26 nœuds vers Arzew, mais à court de torpilles, la moitié de ses munitions dépensée et encombré des rescapés de la Tramontane, il n’est plus en mesure d’affronter l’Aurora qui lui barre la route. Le commandant Abgrall décide à 7 heures 19 de faire demi-tour et rentrer à Oran. Il continue cependant à combattre en retraite, poursuivi par le tir du croiseur qui provoque encore quelques dégâts mineurs jusqu’à ce qu’un obus traverse la cheminée avant, éclate à bâbord tuant l’officier torpilleur, le maître fourrier et un second maître. Le feu cessera de part et d’autre à 7 heures 55. Le Typhon s’amarre au quai Milleran et se met aussitôt en devoir de compléter ses approvisionnements en mazout, en eau et embarque 220 coups de 130 ainsi que trois torpilles.
Le patrouilleur Ajacienne vient de sortir du port à la recherche des blessés. Il se rend au sémaphore de l’Aiguille, commence à embarquer quinze blessés graves de la Tramontane, puis se rend au rocher pour prendre ceux de la Tornade. De retour à Oran peu après midi, il y débarquera 24 blessés et 4 morts. A 13 heures 15, l’Ajacienne réappareille pour prendre les rescapés valides rassemblés sous le sémaphore. Elle en embarquera 120, en dix-huit voyages de doris.
Le même après midi, le remorqueur Cotentin, avait été envoyé par Marine Oran pour tenter de remorquer la Tramontane qui flottait toujours et dont les flammes s’étaient éteintes d’elles-mêmes. Il ne pourra mener sa mission à bien, mais parviendra à conduire l’épave jusqu’en baie de Krystel - pas très loin d’Oran - et à l’échouer sur une bande de sable l’arrière à la côte. Il se rendra encore utile en poussant jusqu’au cap de l’Aiguille pour embarquer à son tour 80 rescapés.

Combat du Typhon - 9 novembre 1942 -.
9 novembre, 8 heures 22 - le Commandant de la Marine à Oran adresse au contre-torpilleur Epervier le message suivant :
« Adressé à Epervier. Ecoutez Typhon. Appareillez immédiatement et mouillez à l’extérieur. A votre initiative, faites route en groupe vers destination la plus propice, en principe vers métropole ».
Les deux navires appareillent sur l’heure et font route sans plus attendre afin de profiter d’une légère brume. A 500 mètres d’intervalle, Epervier en tête, la formation met à 23 nœuds cap au 130 vers Canastel, puis plein nord à partir de 9 heures 30. Ils sont à ce moment survolés par un avion de reconnaissance et par des chasseurs. A hauteur de la pointe de l’Aiguille, l’adversaire est enfin reconnu à bâbord (quatre bâtiments légers, une force navale au loin ainsi qu’un convoi), et sur l’avant (un porte-avion et son escorte). Dès lors, le groupe va manœuvrer afin de s’écarter des ennemis les plus menaçants mais pour tenter aussi de profiter encore d’un banc de brume fort opportun. Veines manœuvres, car un hydravion britannique tient maintenant le contact. Une force navale comportant des croiseurs est bientôt aperçue par le travers à 20 000 mètres, puis le croiseur Aurora reconnu à 18 000 mètres sur tribord arrière.
A 10 heures 20, acculés, les deux bâtiments font demi-tour afin d’éviter l’encerclement et se rapprochent de la côte. 10 heures 23, L’Aurora ouvre le feu imité, sur l’autre bord, par le croiseur Jamaïca et un destroyer. L’Epervier riposte, ainsi que le Typhon qui prend le Jamaïca pour cible. Mais les salves ennemies sont encadrantes et dix minutes après le début de l’engagement, le contre-torpilleur est touché dans une chaufferie, puis dans les machines et sur la passerelle... L’avant incendié, le bâtiment part faire côte sous la pointe de l’Aiguille. Pendant ce temps, le Typhon contourne le contre-torpilleur par l’arrière pour le masquer d’un rideau de fumée, met à 25 nœuds et prend l’Aurora pour objectif. A 10 heures 45, il parvient à lancer une torpille (sans résultat). Il maintient sa vitesse jusqu’au moment où, masqué par la terre, l’engagement s’interrompt. Le torpilleur se tient au plus près de la côte et, sous la protection de la batterie de Canastel, estime pouvoir retourner sur l’Epervier qui s’apprête à échouer. Il est maintenant 10 heures 50, le torpilleur fait son demi-tour devant Kristel, mais alors qu’il s’approche de l’Epervier aperçoit l’Aurora déboucher du cap. L’engagement reprend aussitôt et contraint le Typhon à dégager sur Oran derrière un rideau de fumée. Le tir anglais est toujours aussi précis et bien qu’aucun obus ne fasse but, le téléphone et les jumelles de direction de tir sont endommagés par des éclats. Le Typhon parvient cependant à tirer une seconde torpille à 11 heures 15 (sans résultat) peu avant que les trois pièces de 240 mm de la batterie de Canastel entre en action et éloigne l’agresseur.
A 11 heures 25, l’engagement est terminé. Le Typhon met à 9 nœuds et mouille peu après devant la passe d’Oran.

Sabordage du Typhon - le 10 novembre 1942-
Ce 9 novembre à 16 heures 50, le commandant de la Marine à Oran donne ordre d’embouteiller le port en y sabordant l’ensemble des bâtiments de guerre et des navires de commerce présents, à l’exception momentanément du Typhon, qui garde la passe, et du remorqueur-dragueur Pigeon.
Le remorqueur est sabordé dans la matinée du lendemain au milieu de la seconde passe. A 14 heures, le personnel non indispensable au sabordage du Typhon est évacué par le remorqueur civil Kairouan puis le torpilleur vient mouiller plus près de la jetée. Il s’amarre sur l’épi du large et se place en travers de la passe. C’est dans cette position qu’il est sabordé à 20 heures 20 ; machines, chaufferies et soutes noyées, le feu mis aux soutes à munitions arrières qui ne tardent pas à exploser.
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SALIOU
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Message par SALIOU »

Bonjour,

Photo de la Tramontane extraite de La Marine en guerre en images 1939-1945 de jean Moulin (Marines Editions):

Image

A+
Pierre

"Rame, rame, rameurs, ramez
on avance à rien dans c'canoë...
point18sik2
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Message par point18sik2 »

merci pour vos reponse
Tauziet c'est tres interessant ce que vous dites, l'épave de la Tramontane serait a 150m, j'ai plongé sur une épave a 70 metres en face de la jetée du port de Kristel, elle est a 7 mètres de profondeur. comme vous avez deja plongé dessus, vous pourriez peut etre me l'identifier formellement
ci joint un lien pour voir une vidéo de l'épave de Kristel, je pense que c est la Tramonte mais j'en suis pas sur d'une maniere formelle

http://www.youtube.com/watch?v=On0EWGq_zjQ

ton aide me serait precieuse
j'aimerai aussi rentrer en contact avec vous, peut etre que vous avez des infos preciseuses pour moi(anecdotes, photos de marins en 1942....)
appelez moi svp : 06 81 23 49 85
merci Saliou, j'ai trouvé le livre en vente sur ebay, je vais le commander
merci Marc, c est tres interessant, par contre il n'est pas sur ebay, es ce que vous savez s'il est en vente, je vais continuer a chercher
merci merci, et a bientot
PS : envoyer un message sur ma messagerie perso : mokhtarik@hotmail.fr je la consulte tout les jours
point18sik2
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Message par point18sik2 »

ooouuups,
pardon Marc, je me suis avancé trop, le livre " les torpilleurs de 1500 tonnes de type bourrasque" est en vente sur fnac.fr
il me le faut dans ma collection,j'irai a la fnac l'acheter ces jours ci
c'est vous qui l'avez ecris, je vois l'auteur : M. Saibene ?
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