CONSTRUCTION DU CROISEUR DE BATAILLE HOOD au 700
Publié : 28 mai 2009, 11:29
Le bonjour vous va les maquettistes,
Voilà en ayant regardé longtemps mes maquettes d'avance, je viens de me décider pour le HOOD de chez TRUMPETER bien sûr au 700…
C'est bizarre je viens de m'apercevoir en mettant par hasard les deux maquettes l'une à coté de l'autre, eh bien le HOOD est plus long que le Jean-Bart mais moins large… j'ai vérifié les caractéristiques et j'ai trouvé que le HOOD faisait 262 m de long et 32 m de large, tandis que le JEAN-BART faisait 248 m de long et 35 m de large….
Donc un croiseur est plus long qu'un cuirassé, surprenant non…
Voici un topo de son histoire, trouvé sur WIKIPEDIA, donc je ne me suis pas cassé, car les autres sites étaient en Anglais !
Lancé en 1918, le navire ne prit pas part aux combats de la Première Guerre mondiale. C'était le plus grand navire de la flotte britannique, voire du monde à une certaine période. Pour ces raisons de prestige, le navire passa une grande partie de l'entre-deux-guerres à rendre visite aux autres parties de l'empire britannique ou aux autres pays.
Cependant la faiblesse du navire résidait dans son blindage, insuffisamment épais, surtout sur le pont du navire. On craignait particulièrement les obus de gros calibres tombant à la verticale. Les amiraux en étaient conscients, mais le projet de refonte fut constamment reporté, faute d'argent, mais surtout de temps : le navire étant "l'ambassadeur" de la force navale britannique, il fut mobilisé par les parades, mais aussi les nombreuses crises présageant la guerre. En 1939, avec le déclenchement de la guerre contre l'Allemagne, l'idée de renforcement du blindage fut définitivement enterrée.
Au début du second conflit mondial, le Hood est transféré à la base navale de Scapa Flow, au nord de l'Écosse. Avec les autres bâtiments de la Home Fleet, il a pour zone d'action l'Atlantique nord. Il participe à l'attaque de la flotte française à Mers-el-Kébir en 1940.
Le 21 mai 1941, le cuirassé allemand Bismarck, ainsi que le croiseur de bataille Prinz Eugen, sont repérés à Bergen, en Norvège. Ils quittent le port en direction de l'Islande et risquent d'étouffer la Grande-Bretagne en menaçant les convois entre elle et les États-Unis. Le 22 mai, à 22 h 15, le Hood et le Prince of Wales quittent Scapa Flow pour aller à leur rencontre au détroit du Danemark. Le groupe naval est dirigé par l'amiral Holland. La direction du Bismarck est confirmée par deux croiseurs, le Norfolk et le Suffolk, qui le repèrent (au radar) au nord-est de l'Islande le 23 mai, et le suivent à distance.
Le lendemain 24 mai, à 5 h 05, à la sortie du détroit du Danemark, les deux flottes s'aperçoivent. La bataille est engagée à 5 h 52, à 60° 30 N, 38° O, à une distance de 25 km, se réduisant. Les quatre navires en présence encaissent chacun des coups sévères, mais personne ne semble emporter la décision. Les navires allemands deviennent pourtant de plus en plus précis dans leur tir, tandis que le navire amiral britannique, le Hood, souffre de nombreux problèmes techniques qui l'empêchent de tirer plus vite. A 5 h 57, la seconde salve du Prinz Eugen déchenche un incendie, à 6 h 00, un obus du Bismarck atteint le talon d'Achille du hood, au niveau de la soute à munitions insuffisemment protégée. Une formidable explosion retentit, avec une boule de feu haute de plusieurs centaines de mètres : le navire est cassé en deux et coule en quelques minutes1. On ne trouvera que trois survivants sur les 1419 hommes d'équipage.
Le Prince of Wales rompt le combat. Quant au Bismarck, dont une soute à mazout a été perforée, il est contraint de renoncer à ses raids dans l'Atlantique et doit regagner Brest. Commence alors une longue traque de la Royal Navy qui parvient à l'intercepter grâce aux avions de l'Ark Royal, permettant aux cuirassés King George V et Rodney de n'en faire qu'une bouchée.
Le Hood est vengé et la Royal Navy reste maîtresse de la mer du Nord et de l'Atlantique
Le lendemain 24 mai, à 5 h 05, à la sortie du détroit du Danemark, les deux flottes s'aperçoivent. La bataille est engagée à 5 h 52, à 60° 30 N, 38° O, à une distance de 25 km, se réduisant. Les quatre navires en présence encaissent chacun des coups sévères, mais personne ne semble emporter la décision. Les navires allemands deviennent pourtant de plus en plus précis dans leur tir, tandis que le navire amiral britannique, le Hood, souffre de nombreux problèmes techniques qui l'empêchent de tirer plus vite. A 5 h 57, la seconde salve du Prinz Eugen déchenche un incendie, à 6 h 00, un obus du Bismarck atteint le talon d'Achille du hood, au niveau de la soute à munitions insuffisemment protégée. Une formidable explosion retentit, avec une boule de feu haute de plusieurs centaines de mètres : le navire est cassé en deux et coule en quelques minutes1. On ne trouvera que trois survivants sur les 1419 hommes d'équipage.
Le Prince of Wales rompt le combat. Quant au Bismarck, dont une soute à mazout a été perforée, il est contraint de renoncer à ses raids dans l'Atlantique et doit regagner Brest. Commence alors une longue traque de la Royal Navy qui parvient à l'intercepter grâce aux avions de l'Ark Royal, permettant aux cuirassés King George V et Rodney de n'en faire qu'une bouchée.
Le Hood est vengé et la Royal Navy reste maîtresse de la mer du Nord et de l'Atlantique.
L'anéantissement du fleuron de la marine britannique en quelques secondes provoque une très vive émotion au Royaume-Uni. Le désir de revanche est très fort, et Churchill ordonne à ses amiraux : Sink the Bismarck ! (coulez le Bismarck !). Tout sera mis en œuvre pour laver cet affront, et couler le Bismarck qui sera achevé le 27 mai 1941 à peu près à 650 km à l'ouest de Brest.
Une autre hypothèse serait que que le Bismarck s'est sabordé !
A servi dans la Royal Navy
Commandé :en 1916
Lancement en 1918
Armé en 1920
Statut : coulé le 24 mai 1941
Caractéristiques techniques
Type : Croiseur de bataille
Longueur : 262,31 mètres
Maître-bau : 32,06 m
Tirant d'eau : 8,7 m
Déplacement : 46 000 tonnes à pleine charge
Armement : 8x381 mm, 12x140 mm, 8x102 mm AA, 24x37 AA, 4 tubes lance-torpilles de 533 mm
Équipage : 1 169 en 1921, 1 418 en 1941
Voici la présentation de la boîte, quelques éléments sont déjà peints
Amicalement… Michel Pépéracine…
Voilà en ayant regardé longtemps mes maquettes d'avance, je viens de me décider pour le HOOD de chez TRUMPETER bien sûr au 700…
C'est bizarre je viens de m'apercevoir en mettant par hasard les deux maquettes l'une à coté de l'autre, eh bien le HOOD est plus long que le Jean-Bart mais moins large… j'ai vérifié les caractéristiques et j'ai trouvé que le HOOD faisait 262 m de long et 32 m de large, tandis que le JEAN-BART faisait 248 m de long et 35 m de large….
Donc un croiseur est plus long qu'un cuirassé, surprenant non…
Voici un topo de son histoire, trouvé sur WIKIPEDIA, donc je ne me suis pas cassé, car les autres sites étaient en Anglais !
Lancé en 1918, le navire ne prit pas part aux combats de la Première Guerre mondiale. C'était le plus grand navire de la flotte britannique, voire du monde à une certaine période. Pour ces raisons de prestige, le navire passa une grande partie de l'entre-deux-guerres à rendre visite aux autres parties de l'empire britannique ou aux autres pays.
Cependant la faiblesse du navire résidait dans son blindage, insuffisamment épais, surtout sur le pont du navire. On craignait particulièrement les obus de gros calibres tombant à la verticale. Les amiraux en étaient conscients, mais le projet de refonte fut constamment reporté, faute d'argent, mais surtout de temps : le navire étant "l'ambassadeur" de la force navale britannique, il fut mobilisé par les parades, mais aussi les nombreuses crises présageant la guerre. En 1939, avec le déclenchement de la guerre contre l'Allemagne, l'idée de renforcement du blindage fut définitivement enterrée.
Au début du second conflit mondial, le Hood est transféré à la base navale de Scapa Flow, au nord de l'Écosse. Avec les autres bâtiments de la Home Fleet, il a pour zone d'action l'Atlantique nord. Il participe à l'attaque de la flotte française à Mers-el-Kébir en 1940.
Le 21 mai 1941, le cuirassé allemand Bismarck, ainsi que le croiseur de bataille Prinz Eugen, sont repérés à Bergen, en Norvège. Ils quittent le port en direction de l'Islande et risquent d'étouffer la Grande-Bretagne en menaçant les convois entre elle et les États-Unis. Le 22 mai, à 22 h 15, le Hood et le Prince of Wales quittent Scapa Flow pour aller à leur rencontre au détroit du Danemark. Le groupe naval est dirigé par l'amiral Holland. La direction du Bismarck est confirmée par deux croiseurs, le Norfolk et le Suffolk, qui le repèrent (au radar) au nord-est de l'Islande le 23 mai, et le suivent à distance.
Le lendemain 24 mai, à 5 h 05, à la sortie du détroit du Danemark, les deux flottes s'aperçoivent. La bataille est engagée à 5 h 52, à 60° 30 N, 38° O, à une distance de 25 km, se réduisant. Les quatre navires en présence encaissent chacun des coups sévères, mais personne ne semble emporter la décision. Les navires allemands deviennent pourtant de plus en plus précis dans leur tir, tandis que le navire amiral britannique, le Hood, souffre de nombreux problèmes techniques qui l'empêchent de tirer plus vite. A 5 h 57, la seconde salve du Prinz Eugen déchenche un incendie, à 6 h 00, un obus du Bismarck atteint le talon d'Achille du hood, au niveau de la soute à munitions insuffisemment protégée. Une formidable explosion retentit, avec une boule de feu haute de plusieurs centaines de mètres : le navire est cassé en deux et coule en quelques minutes1. On ne trouvera que trois survivants sur les 1419 hommes d'équipage.
Le Prince of Wales rompt le combat. Quant au Bismarck, dont une soute à mazout a été perforée, il est contraint de renoncer à ses raids dans l'Atlantique et doit regagner Brest. Commence alors une longue traque de la Royal Navy qui parvient à l'intercepter grâce aux avions de l'Ark Royal, permettant aux cuirassés King George V et Rodney de n'en faire qu'une bouchée.
Le Hood est vengé et la Royal Navy reste maîtresse de la mer du Nord et de l'Atlantique
Le lendemain 24 mai, à 5 h 05, à la sortie du détroit du Danemark, les deux flottes s'aperçoivent. La bataille est engagée à 5 h 52, à 60° 30 N, 38° O, à une distance de 25 km, se réduisant. Les quatre navires en présence encaissent chacun des coups sévères, mais personne ne semble emporter la décision. Les navires allemands deviennent pourtant de plus en plus précis dans leur tir, tandis que le navire amiral britannique, le Hood, souffre de nombreux problèmes techniques qui l'empêchent de tirer plus vite. A 5 h 57, la seconde salve du Prinz Eugen déchenche un incendie, à 6 h 00, un obus du Bismarck atteint le talon d'Achille du hood, au niveau de la soute à munitions insuffisemment protégée. Une formidable explosion retentit, avec une boule de feu haute de plusieurs centaines de mètres : le navire est cassé en deux et coule en quelques minutes1. On ne trouvera que trois survivants sur les 1419 hommes d'équipage.
Le Prince of Wales rompt le combat. Quant au Bismarck, dont une soute à mazout a été perforée, il est contraint de renoncer à ses raids dans l'Atlantique et doit regagner Brest. Commence alors une longue traque de la Royal Navy qui parvient à l'intercepter grâce aux avions de l'Ark Royal, permettant aux cuirassés King George V et Rodney de n'en faire qu'une bouchée.
Le Hood est vengé et la Royal Navy reste maîtresse de la mer du Nord et de l'Atlantique.
L'anéantissement du fleuron de la marine britannique en quelques secondes provoque une très vive émotion au Royaume-Uni. Le désir de revanche est très fort, et Churchill ordonne à ses amiraux : Sink the Bismarck ! (coulez le Bismarck !). Tout sera mis en œuvre pour laver cet affront, et couler le Bismarck qui sera achevé le 27 mai 1941 à peu près à 650 km à l'ouest de Brest.
Une autre hypothèse serait que que le Bismarck s'est sabordé !
A servi dans la Royal Navy
Commandé :en 1916
Lancement en 1918
Armé en 1920
Statut : coulé le 24 mai 1941
Caractéristiques techniques
Type : Croiseur de bataille
Longueur : 262,31 mètres
Maître-bau : 32,06 m
Tirant d'eau : 8,7 m
Déplacement : 46 000 tonnes à pleine charge
Armement : 8x381 mm, 12x140 mm, 8x102 mm AA, 24x37 AA, 4 tubes lance-torpilles de 533 mm
Équipage : 1 169 en 1921, 1 418 en 1941
Voici la présentation de la boîte, quelques éléments sont déjà peints



Amicalement… Michel Pépéracine…
