La cellule est du type semi-monocoque, en alliage léger, avec la majorité des portes et capots en matière composite et nid dabeille. Un treuil peut être monté sur le coté droit du fuselage. La partie inférieure du fuselage porte un harpon d'amarrage sur pont. Les ailettes de l'atterisseur principal renferme le système de flottabilité de secours. Les roues peuvent être braquées de façon à permettre le pivotement de l'appareil autour du harpon lorsqu'il est embarqué sur un bâtiment porte-hélicopères (BPH). La partie inférieure du fuselage comporte des points de fixation pour une élingue de fret et pour les emports darmes (torpilles, missiles, bombes, grenades). Le pylône de queue et les pales du rotor principal sont repliables pour un gain de place à bord des BPH. Les équipements de navigation se composent d'un calculateur tactique, d'un doppler et d'une centrale anémobarométrique. L'installation comprend également un radar, un sonar (selon la mission), un IFF, une V/UHF, une UHF de secours, un homing UHF, un pilote automatique et un système de manoeuvrement automatique pour les transitions en descente et les stationnaires. La peinture dorsale
blanche, utile en temps de paix pour sa fonction anti-collision, le rendait
trop voyant et en faisait une cible idéale. La décision est donc prise en 1982
de repeindre tout en gris l'ensemble des Lynx et Super-Frelon,
sans modification des marques d'identification.
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