Les bâtiments ayant porté le nom de Colibri

Dix bâtiments ont déjà porté le nom de Colibri :

- Un brig de 16 canons type Alcyon construit par l'Entrerprise Crucy à Nantes et mis en service en 1802. Le 1er septembre 1802, Colibri est donné avec le Speedy par le 1er consul Bonaparte au Pape Pie VII;

- Un brig de 16 canons type Alcyon construit au Havre et mis et mis à flot le 8 août 1808. Le 16 janvier 1809, il est pris par le HMS Melampus après 3 heures de combat près de Saint Domingue et rebaptisé HMS Colibri. Il fait naufrage à Port Royal de la Jamaïque le 22 août 1813;

- Une goelette à voiles mise en service en 1817. Déplaçant 46 tonnes, Colibri effectue sa carrière à la flottille du Sénégal jusqu'à sa condamnation en août 1832;

- Une brig de 20 canons type Alacrity en service de 1822 à 1824 ;

- Une goelette contruite à Bayonne et mise à flot en 1829. En juillet 1829, elle participe à l'expédition de reprise des établissements français à Madagascar avant d'être retiré du service en 1833;

- Un brick-aviso admis au service actif en 1835. Le 26 février 1845, il chavire sous voile et sombre près des îles Badama sur les côtes de Madagascar entrainant la disparition presque totale de l'équipage;

- Un cotre à voiles mis à flot en 1862. Accomplissant la totalité de sa carrière à Cherbourg, il est condamné le 24 mai 1878 et sert quelques années comme allège;

- Une vedette de surveillance du littoral type Pointe du Hoc appartenant à l'administration des affaires Maritimes et mise à flot en 1994;

- Un patrouilleur auxiliaire, ex-chalutier grec Volga, acheté en 1916 pour les besoins de la Grande Guerre. Déplaçant 281 tonnes pour une longueur de 47.25 mètres, il est baptisé Colibri I et affecté à Bône. En mai 1920 , il est vendu en Grèce;

- Un patrouilleur-dragueur type Mauviette, contruit aux Forges et Chantiers de la Méditerranée à La Seyne-sur-Mer et mis en service en 1917. Déplaçant 460 tonnes pour une puisance motrice de 500 Cv, il est baptisé Colibri II et rattaché à la 2ème escadrille de patrouille de Méditerranée. Le 13 avril 1920, il est vendu à la Conpagnie Française de Remorquage, de Pilotage et de Sauvetage.


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